François Hollande et Julie Gayet trahis par une taupe?
Trois photos publiées cette semaine par Voici ont agité la scène politique et médiatique. On y retrouve François Hollande et Julie Gayet attablés sur la terrasse des appartements présidentiels, au sein de l’Elysée. Un tableau qui lève une question cruciale : la sécurité du président a-t-elle été mise à mal ? Non, affirme le président de la République dans Le Parisien, aujourd’hui. En effet, selon ses dires, le photographe n’a pas obtenu ce cliché depuis l’extérieur du palais, comme le soutien le magazine. Il s’agirait donc d’un membre du personnel ou d’un invité de passage.
Qui est l’auteur des clichés qui secouent une nouvelle fois l’Elysée cette semaine ? Si l’on sait que le paparazzi Sébastien Valiela était bien à l’origine du reportage publié par Closer en janvier dernier, annonçant la liaison du président de la République avec l’actrice Julie Gayet, cette fois-ci impossible de savoir.
Dans ce second acte du feuilleton Gayet qui paraît dans Voici cette semaine, la question de la sécurité du président est de nouveau sur toutes les lèvres. Et pour cause, la rédactrice en chef de l’hebdomadaire, Marion Alombert, a assuré que ces quelques photos volées n’avaient « pas été prises de l’intérieur » du palais de l’Elysée « ni par un drone ». Sur BFM TV, cette dernière a affirmé : « La question de la sécurité revient fréquemment à propos de François Hollande. Déjà cet été en vacances, il avait demandé à avoir une sécurité minimum autour de lui. De plus, il lui arrive d’avoir des ‘trous’ de sécurité ».
Mais comment un photographe a-t-il bien pu escalader les murs bordant le domicile de François Hollande ? Selon l’intéressé, la réponse est simple. Il ne s’agit pas d’un photographe professionnel. Interrogé par les journalistes du Parisien, le chef de l’Etat a expliqué ce matin qu’il estimait que ces photos intimes avaient probablement été prises à l’aide d’un smartphone, soit par un membre du personnel, soit par un invité de passage, pour « arrondir ses fins de mois ».
De toutes les façons, François Hollande a expliqué que cette fois-ci, il ne comptait pas porter plainte contre le magazine people, prenant les nouvelles avec philosophie, en admettant « On ne peut pas surveiller tout le monde ». A l’Elysée, « On ne souhaite pas trop donner de publicité à cette histoire », rapporte Le Parisien, mais « il va sûrement y avoir des investigations discrètes pour connaître les dessous de cette affaire », selon Jean-Pierre Diot, vice-président de la Fédération française de protection rapprochée et ex-membre du SPHP (le service de protection des hautes personnalités), cité par le quotidien.